La Présence Pure de Christian Bobin

« Je suis né dans un monde qui commençait à ne plus vouloir entendre parler de la mort et qui est aujourd’hui parvenu à ses fins, sans comprendre qu’il s’est du coup condamné à ne plus entendre parler de la grâce » Ch. Bobin

Françoise Ponthier, comédienne-chanteuse, vient nous présenter une lecture d’extraits du livre de Christian Bobin et deux chants de Shalima.

Passionnée de la connaissance de l’être et de la vie, elle s’est spécialisée dans le travail du corps et de la voix dans leur expression scénique.

Touchée par ce poète, Françoise trouve qu’il va « au cœur de la Vie dans son aspect le plus simplement matériel, et en extrait l’essence qui nourrit l’âme ».

Par ailleurs, elle a aussi toujours été touchée par ce qui est communément appelé « maladie d’Alzheimer » et c’est pour elle d’aborder et de considérer ce sujet d’une manière différente.

 
Crédit photo  : LD4


Au programme :

• Méditation centrage
• Lecture de « La Présence Pure » de Christian Bobin
• Partages dans l’authenticité de nos ressentis et de nos cœurs
   
   

  Témoignages :

   

  L’écoute de « La présence pure » de Christian Bobin par Françoise Ponthier a été pour moi à la fois un moment de paix et d’émerveillement. Tant la beauté des textes que l’interprétation de Françoise m’ont poussée à (re)voir la beauté des choses simples… l’essentiel… la présence, à l’état pur ! C’est un moment de respiration et de vibration collectives. Une leçon de philosophie et de Vie.    Fr. Dumont

  Dans Présence pure, petit livre blanc de soixante-six pages, Christian Bobin nous montre avec tendresse et amour, qu’en nous mettant en harmonie avec la personne blessée, malade, nous ressuscitons à l’essentiel pour partager la grâce. Catherine Réault-Crosnier

   

  La proposition de Françoise Ponthier est de donner voix et corps à ce témoignage . Très vite l'auditeur est embarqué, au côté de Christian dans la chambre aux murs blancs, dans une langue poétique et un phrasé épuré,  aux silences pleins. Très vite le spectateur est touché, effleuré par un jeu scénique "immersif".  J'ai été cet auditeur embarqué, ce spectateur touché par la pure présence et je n’étais pas seul !      Jacques Delhez